Depuis samedi 7 octobre, les photos et vidéos choquantes prolifèrent sur les réseaux sociaux (Telegram et Twitter). Une lacune de modération récurrente que l'Europe n'arrive toujours pas à régler.
"Le système de modération est défaillant, constate Laura Ben Kemoun, avocate qui exerce dans les affaires de contenus haineux en ligne. Les réseaux sociaux n'apprennent pas de leurs erreurs."
Lisez ici l'article en entier